27 septembre 2006

Quand toutes ces petites portes d'espoir
Sur lesquelles les yeux ivres brillent de gloire
Des mains des âges ou de l'égoïsme humain
Seront fermées un jour ou même demain.
Les ambitions grandioses ainsi de partout
Mourant sur l'iceberg de mûrs de berlin
Prenant place aux simples grillages de sebta
Que l'âge par son courage et sa franchise n'évita.
Quand aux balles perdues percutant les pauvres
S'ajoutent le courant életrique aux grillages de melilia
Quand les mers et les océans par le sort dont on se mefia
Par les lois de l'évolution ne sont plus qu'opprobre
Vomissant des démons ici;bannissant les pirogues là-bas.
Oui quand cette petite porte où encore tu peux sauver
Par les mains de l'impatience sera en bastion innovée;
Les esprits pris par le déluge allant dans tous les sens las
A la conquête de l'introuvable..........................
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24 septembre 2006

NE CORROMPONS PAS

Ne corrompons pas
A côté tout près de nous
Il y a un homme, notre frère,
Il s'appelle le pauvre
Il n'a pas de repas,
Il a des soucis pour demain
Menant l'opprobre
Il n'a qu'un seul atout
Les dons naturels
Dont il est armé par les Cieux
Par lesquels il se deplace.
Ne corrompons pas alors
Car ce qu'on débourse
Pour avoir ce qui merite
D'être acquis par nos talents
Nuit aux efforts du frère
Dont on a souci de consoler
Dans ses souffrances par des mots
Ou des pièces comme un enfant.
C'est un frère dont on pleure
Le plus souvent pris d'horreur,
Il est aussi le lieu de prospection
Des maux insouhaitables...
Alors prenons soin de lui
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23 septembre 2006

C’EST VOTRE FAUTE

Ceux qui meurent dans les mers et les océans
Et que vous étudiants vous vous comportez en fainéant
S’astreignant à contempler ces crimes trop souvent
Souriant ou se moquant de ceux à la quête du devant
Ce sont nos frères, nos parents. Nous sommes lâches.
Je persiste : nous sommes des lâches quand on se cache
Derrière des prétextes où on ne saurait longtemps rester
Puisque les maux qui le font risquer leur vies à quitter
Sont ces lits qui sont toujours étaler au berceau
Où toi comme moi pourront s’y trouver demain
Ne vantons pas nos éphémères déguisements de proche fin
Aujourd’hui tenant des mots souvent faux, demain dans l’eau
Oui il en est ainsi pour certains de ceux qui traversent
Posez des questions : rien que des profs et brillants étudiants
Mais n’ayant point en poches ce qui fait des hommes des galants
Après mille peines ayant abouti au néant finissent dans l’impasse.
Voilà pourquoi notre silence face à ce qu’on croit folie
Est une façon de cautionner comme d’autres le berceau démoli
Que certains soutiennent ayant assuré pour leur 80eme descendance
L’avenir pour lequel les hommes ont toujours tant sué.
Ainsi le sort réservé à Adam et à l’homme serait muet
Face à ces gens-là ayant tout et tout trouvé en place…..

03 septembre 2006

IDI EST UN GRAND

Déby Itno est un grand
Pour avoir été franc
Des hommes comme lui
A la tête des pays qu'on fuit
Peuvent espérer retrouver
Le pain longtemps enlévé.
Qu'il soit pour rédorer le blason
Ou pour s'enrichir par autre façon
L'essentiel est d'avoir dit non
A la façon que Sékou Touré
Ou Krumah ont conquis leurs noms.
Un Morales à l'africaine ainsi nait.
Ces multinationales qui nous volent
Contrairement aux dires ne sont pas privées.
Par leurs impôts continuent d'innover
Leurs pays qui nous trompent de leur statut.
Cinq milliards de dollars pour les voleuses
Six millions de dollars pour le Tchad aux nues
C'est la part de l'exploration et l'exploitation
C'est la part de la propriétaire et la maudite
Voilà pourquoi il faut dire merci à IDI...