16 avril 2007

DIARRA CONTRE VENTS, MAREES ET TYPHONS

Ce ne sont pas les premiers. Ce ne seront pas non plus les derniers. Mais si seulement les vents les plus violents, les marées les plus saugrenues et les typhons, nourris de la gouaille d’une nature virtuelle et onirique, les plus inopportuns se manifestent, neigeotent ou vantent à leur guise par le simple fait que j’ai dit non à ce qu’ils veuillent que je sois ou que les autres – faibles - le soient, je ne pourrai qu’être désolé. Mais devant un tel devoir d’homme digne, responsable, devant un tel devoir d’intellectuel, je ne céderai pas un iota. C’est mon droit. C’est le droit que j’ai le devoir de défendre. Je le fais et le ferai tête haute, espoir et confiance en moi et en mes actes sans honte ni faux fuyant. Je n’ai pas commis un crime. Les crimes que vous m’endossiez ne sont que ce qu’ils sont c’est-à-dire simples rumeurs. Et si ces dernières ont une part de vérité comme vous le dites, elles restent tout de même des rumeurs fomentées et montées de toute pièce par mes détracteurs. Ce qui ne m’empêche pas de bien dormir sur mes lauriers. Et Dieu sait que tout ce qui se passe maintenant, comme diffamations et balivernes, ne me surprend pas. Car on dit dans la sagesse africaine que la cueillette ne s’intéresse qu’aux fruits mûrs. Les fruits qui ne le sont pas restent juste des objets de contemplation et instrument d’une petite risée de la part des dévergondés. Juste une vérité dont vous, mes détracteurs salops, vous le savez: si vous croyez pouvoir me conformer au mensonge sur lequel vous vous êtes regroupés, tas d’hypocrites malveillants tenant aux becs les pauvres exsangues, baissez vos bras, mettez vos patiences en berne, casez vos silences dans vos murmures de honte sans précédentes. Nous ne pouvons pas en même temps aimer une chose et son contraire. Diffamez-moi, insultez-moi, critiquez-moi. Je ne peux vous souhaiter qu’une seule chose : que vous ne soyez jamais quelqu’un tant que vous vous en preniez aux innocents…..Je n’ai pas assez à dire à propos de vous, chiens épagneuls car ce blog ne peut vous contenir, enfer de la vie.