01 février 2007

L'AFRIQUE ENTRE NECESSITE DE DEVELOPPEMENT ET SCISSIONS INTESTINES DES SOCIETES

S'il y a lieu d'indexer l'occidental d'être responsable de la plupart des maux de l'Afrique, l'on ne peut ne pas reconnaître la part de responsabilité de l'africain lui-même par sa mentalité, sa vision des choses, dans la consolidation et le maintien de son continent dans le bourbier où il l'a pataugé et enfoncé depuis tant des decennies. Ainsi il arrive à certains illusionnistes de se demander sur ce qu'allait devenir l'Afrique si seulement elle n'avait pas connu la traîte négrière, la colonisation et l'impérialisme dans sa version moderne de néo-colonialisme. Les réponses qu'ils ont le plus souvent apportées à une telle suggestion ont, dans la plupart des cas, vu dans le sens du bonheur onirique et imaginaire d'un continent où les divisions internes authentiques, enracinées pourtant ne sont pas des valeurs importées. Et aujourd'hui encore Dieu sait que telles scissionsrepresentent de sérieuses embûches à la réussite individuelle partant collective de l'africain. L'on doit reconnaître que l'africain est celui qui veut assigner à toute la société le même destin du fait qu'il lui est difficile, si ce n'est pas tout simplement impossible, d'admettre que l'autre reussisse plus que lui. Si seulement le quotidien de l'africain et de l'Afrique profonde faisait à la une des journaux, l'on se rendrait compte que la société bien que pauvre ,ne manque pas des sujets d'actualité de premier ordre. Il est vrai que les debauches incultes qui se font quotidiennement ne feront jamais l'adhésion des cartésiens et des rationnalistes fanatiques et illusionnistes. Car admettre qu'on ne puisse croire qu'à ses yeux et à l'objectivité à travers que l'explicable et le scientifique c'est autrement embarquer dans le même naviretoutes les sociétés composantes de la vie humaine sur terre. Mais je peux soutenir que le nombre de plus en plus important d'escrocs, de débiles mentaux, et surtout le taux de plus en plus croissant de mortalité relèvent plus de la magie que des problèmes sociaux. qui n'ont pas d'ailleurs commencé qu'aujourd'hui. Si l'on me demande ce que c'est que l'africain je dirai c'est celui qui a le dessu de tout sauf celui de pouvoir admettre que son frère aie son dessus. L'on a cru qu'une telle mentalité est une spécificité d'une partie de ce vaste continent. Mais après tant des lectures, tant des voyages, tant des discussions et tant des rencontres de tout ordre j'ai fini par être persuadé que c'est une carctéristique générale et générique. Elle est spécifique à l'Afrique profonde et traditionnelle. Cependant à notre grande désolation ceux qui se taxent aujour'dui d'être les artisans d'une Afrique qui réussit sont ceux quis'en serventpour arriver à leurs fins. En conséquence da,ns les milieux intellectuels, les idées qui font réussir ne sont les idées qui admises mais celles qui sontutilisées pour faire preuve de leurs rélations personneles et privées. Quand la raison cède sa place à la rancune et à des querelles injustifiées, l'intérêt collectif finirait par modre la queue et se perdrait dans le chaos des luttes intestines et injustifiées. Compte tenu de tout ceci, l'Afrique se trouve donc dans un dilemne de premier ordre: la nécéssité de se développer par l'impossibibilité de pouvoir encore resister aux problèmes sociaux épineux et la nécéssité de se débarrasser de cette mentalité consistant à ne pas voir l'autre réussir plus que soi. Car si je ne me trompe pas par developpement l'on sous-entend la réalisation de chacun et de celle-ci celle de la société............................................................