Quand toutes ces petites portes d'espoirSur lesquelles les yeux ivres brillent de gloireDes mains des âges ou de l'égoïsme humainSeront fermées un jour ou même demain.Les ambitions grandioses ainsi de partoutMourant sur l'iceberg de mûrs de berlinPrenant place aux simples grillages de sebtaQue l'âge par son courage et sa franchise n'évita. Quand aux balles perdues percutant les pauvresS'ajoutent le courant életrique aux grillages de meliliaQuand les mers et les océans par le sort dont on se mefiaPar les lois de l'évolution ne sont plus qu'opprobreVomissant des démons ici;bannissant les pirogues là-bas.Oui quand cette petite porte où encore tu peux sauverPar les mains de l'impatience sera en bastion innovée;Les esprits pris par le déluge allant dans tous les sens lasA la conquête de l'introuvable........................................................................................................................................................................................
NE CORROMPONS PAS
Ne corrompons pasA côté tout près de nousIl y a un homme, notre frère,Il s'appelle le pauvreIl n'a pas de repas, Il a des soucis pour demainMenant l'opprobreIl n'a qu'un seul atoutLes dons naturels Dont il est armé par les CieuxPar lesquels il se deplace.Ne corrompons pas alorsCar ce qu'on débourse Pour avoir ce qui meriteD'être acquis par nos talentsNuit aux efforts du frèreDont on a souci de consolerDans ses souffrances par des mots Ou des pièces comme un enfant.C'est un frère dont on pleureLe plus souvent pris d'horreur,Il est aussi le lieu de prospectionDes maux insouhaitables...Alors prenons soin de lui.......................................
C’EST VOTRE FAUTE
Ceux qui meurent dans les mers et les océans
Et que vous étudiants vous vous comportez en fainéant
S’astreignant à contempler ces crimes trop souvent
Souriant ou se moquant de ceux à la quête du devant
Ce sont nos frères, nos parents. Nous sommes lâches.
Je persiste : nous sommes des lâches quand on se cache
Derrière des prétextes où on ne saurait longtemps rester
Puisque les maux qui le font risquer leur vies à quitter
Sont ces lits qui sont toujours étaler au berceau
Où toi comme moi pourront s’y trouver demain
Ne vantons pas nos éphémères déguisements de proche fin
Aujourd’hui tenant des mots souvent faux, demain dans l’eau
Oui il en est ainsi pour certains de ceux qui traversent
Posez des questions : rien que des profs et brillants étudiants
Mais n’ayant point en poches ce qui fait des hommes des galants
Après mille peines ayant abouti au néant finissent dans l’impasse.
Voilà pourquoi notre silence face à ce qu’on croit folie
Est une façon de cautionner comme d’autres le berceau démoli
Que certains soutiennent ayant assuré pour leur 80eme descendance
L’avenir pour lequel les hommes ont toujours tant sué.
Ainsi le sort réservé à Adam et à l’homme serait muet
Face à ces gens-là ayant tout et tout trouvé en place…..
IDI EST UN GRAND
Déby Itno est un grandPour avoir été francDes hommes comme luiA la tête des pays qu'on fuitPeuvent espérer retrouverLe pain longtemps enlévé.Qu'il soit pour rédorer le blasonOu pour s'enrichir par autre façonL'essentiel est d'avoir dit nonA la façon que Sékou TouréOu Krumah ont conquis leurs noms.Un Morales à l'africaine ainsi nait.Ces multinationales qui nous volentContrairement aux dires ne sont pas privées.Par leurs impôts continuent d'innoverLeurs pays qui nous trompent de leur statut.Cinq milliards de dollars pour les voleusesSix millions de dollars pour le Tchad aux nuesC'est la part de l'exploration et l'exploitationC'est la part de la propriétaire et la mauditeVoilà pourquoi il faut dire merci à IDI...