POUR UNE MAURITANIE UNIE ET INDIVISIBLE, EGALITAIRE ET JUSTE, RECONNUE ET DEVELOPPEE
APRES LA PLUIE LE BEAU TEMPS. LE TEMPS DU PARDON ET DE LA CONCORDE.LE TEMPS DE L'UNITE ET DE L'EQUITE. LE TEMPS DU TRAVAIL ET DU MERITE. LE TEMPS DU DEVELOPPEMENT ET DE L'IMPUNITE.EN UN MOT LE TEMPS DE L'INVESTISSEMENT DE CHAQUE MAURITANIEN POUR LE BIEN DE NOTRE PAYS.
31 janvier 2010
Etat – Jeunes : match nul ou quand s’associer pour mieux servir devient se noyauter pour mieux détruire
30 janvier 2010
Association ou manipulation ??????
28 janvier 2010
Tourisme en Mauritanie, un grenier méconnu: Quand on attend tout d'une administration qui ne se reconnait pas responsable du destin de ce secteur
Mais poser la problématique ainsi, c’est perdre de vue son véritable contour.
27 janvier 2010
Pour le changement, il nous faut de nouvelles têtes et non du nouveau dans des têtes inchangées car cela demande de décennies
19 janvier 2010
Une question qui doit être traitée par des psychologues lorsque les religieux se l’approprient, les effets peuvent être contradictoires.
18 janvier 2010
Trois raisons principales qui doivent pousser notre pays à voir du côté du tourisme
Pour notre pays, plus précisément, trois raisons principales doivent nous pousser à tenter aussi du côté du tourisme ce que nous n’avions pu obtenir ailleurs.
1- Un pays à la recherche d’un véritable modèle de développement
Depuis les années 60, notre pays a été soumis à plusieurs plans de développement dont le but, il faut le rappeler encore, était d’assurer à notre peuple des conditions socio-économiques favorables et viables. Mais près de 50 ans après, tout laisse comprendre, s’il faut juger par les réalités sur le terrain, que tous ces plans, jusque là adoptés, ne furent que des machines de gâchis. La vie du vrai peuple mauritanien reste encore partagée entre souci du quotidien et désespoir des lendemains.
Les problèmes dont souffre le peuple mauritanien sont multiples. Seulement, pour être exhaustif et bref, on peut parler de problèmes que connaissent les pays en voie de développement en général, autrement dit absence de développement, et s’il y en a en clair-semence, développement concentré. Ce manque débouche, dans une espèce de cercle vicieux, sur celui d’environnement économique propice en raison de la corruption épidémique, l’insécurité, le trafic d’influences. D’où, à son tour, le manque d’investissements. Le chômage et autres formes d’exclusion se retrouvent alors justifiés.
Beaucoup. Mais sans résultat. Presque. Et les raisons de ces échecs se trouvent dans les solutions employées.
Pour résoudre un problème quelconque, inutile de le rappeler, il faut le connaître. Le problème du développement mauritanien est non seulement une affaire des moyens, mais c’est surtout celle de culture à partir de laquelle, nous ne saurons, ne pas prendre soin d’accentuer sur celui de nos mentalités. De là, il devient relatif aux questions de types : comment faire et par où commencer. Le rabâchage, nous n’avons pas le choix parce qu’incontournable, nous suggère le problème des compétences d’abord, pour qu’à notre tour nous nous consacrons, pour rester fidèle à notre thématique, à celui du moyen dont il faut se servir pour arriver à bon port.
En réalité, les autorités mauritaniennes ont une idée fausse des problèmes dont souffre le peuple. Et les solutions généralement employées n’ont jamais été, pour la plupart, que des prétextes, par conséquent, n’ont jamais été un élément logique d’un ensemble coordonné dans le cadre d’un plan de développement national global. Les différentes frasques politiques sont venues pour donner raison à ce vide.
Si la meilleure preuve d’amour et de fidélité à son pays est de lui dire ses vérités selon Abdelhakh Serhane, nous nous permettons de reconnaître aujourd’hui dans notre indépendance totale d’opinions et fidèle à notre dignité intellectuelle, que notre pays est en train de connaître des vents de changements inédits dans son histoire, à notre connaissance. Mais, pour ne pas tomber dans la même erreur que les précédents gouvernements, une attitude est souhaitable : que tout ce que nos politiques sont en train d’entreprendre s’inscrivent dans un plan global de développement pour lequel le tourisme peut être envisagé comme une voie à envisager. Le tourisme ? Oui. Car l’homme de la rue sait, dans l’état actuel des choses, notre pays n’a pas simplement besoin d’un développement socio-économique décentralisé, il a besoin aussi, pour qu’un tel développement soit durable, d’évolution des mentalités de notre peuple. Mais puisque vouloir n’est pas pouvoir surtout lorsqu’il s’agit d’un secteur aussi composite comme le tourisme qui est ambivalent à bien des égards, au-delà du simple fait d’être le centre de notre éventuel nouveau modèle de développement, quels autres arguments pour faire du tourisme, un outils de progrès ?
Entre la Mauritanie et l’Europe, sur le plan touristique l’on ne saurait omettre le Maghreb à travers ses destinations stars. Mais avec des politiques de développement touristiques bien adaptées, notre pays ne saura que faire dire haut à la plupart des touristes ce qu’ils commencent à dire tout bas : du déjà vu, des harcèlements mais aussi et surtout la motivation de voir du nouveau.
Plus qu’un simple amour des mots et au-delà de la simple ténacité de vouloir coûte que coûte convaincre, le Maghreb du tourisme est en train de tourner la page pour le nord afin d’attirer le sud. Plus que jamais le tourisme destructeur a pris le pas sur celui qu’il fallait pourtant bâtir dès le début des aventures. Cela ne peut servir que des pays comme la Mauritanie, ces pays où l’hospitalité n’est pas un comportement forcé mais plus tôt un mode de vie quotidienne, ces pays où le harcèlement relève de la honte. Une des preuves patentes est la ruée des touristes vers notre pays ces dernières années.
Cette phrase semble être une parole incantatoire pour tous ceux qui veulent convaincre leurs autorités afin qu’elles se servent du tourisme pour contribuer au développement socio-économique de leurs pays. Pour le cas de la Mauritanie c’est plus qu’un argument. Notre pays est l’histoire et l’actualité, c’est le désert et la verdure, l’océan et le fleuve, l’homme noir et l’homme blanc. Le pays des millions de poètes peut-être aussi celui des millions d’érudits en islam. Ces potentialités se sont vendues d’elles-mêmes. Elles se sont vendues car sous l’influence d’aucune éventuelle politique, elles furent reconnues et courtisées de par le monde. Fait certes souhaitable aujourd’hui mais qui ne le sera pas pour toujours. Et s’il le sera, ce ne sera pas dans l’avantage de notre pays.
14 janvier 2010
un pays qui consomme plus qu’il ne produit est un pays qui est condamné à mendier plus qu’à pouvoir s'assister.
L’on l’a dit et redit : un pays qui consomme plus qu’il ne produit est un pays qui est condamné à mendier plus qu’à pouvoir s'assister. Cette vérité de première heure, nos autorités la savent mieux que ceux qui la soutiennent et ne cessent de la rappeler chaque fois que cela s’avère nécessaire. Mais à l’heure où l’on vous soumet notre présent article, par les actions quotidiennes de nos autorités, que peut-on lire et comprendre ?
A vous d’analyser.
Depuis la prise de pouvoir de Ould Abdel Aziz, officiellement, le 05 Août 2008, un jour n’est passé sans qu’un acte de bravoure ne se déguise en fait divers, comme pour prouver par les actes que le nouvel homme fort qui nous dirige est différent de tous ceux que nous avions connus jusque là. L’impensable, dans un pays comme le nôtre, a été franchi, notamment avec la mise en arrêt de trois des hommes les plus puissants et crus les plus intouchables de notre pays. Bien que ces derniers seront libérés quelques mois plus tard par l’intervention de l’érudit Ould Dedew, l’acte en lui seul avait quelque chose de significatif dans la mémoire du mauritanien moyen.
A cet acte, l’on ne peut ne pas rappeler les autres chantiers d’assainissement administratif et urbain.
Pour la première fois, notre capitale est en train de connaître les moments forts de son existence depuis sa création dans les années 58. Les routes et autres espaces publics sont en train de connaître de faire peau neuve. Tout porte à croire que la promesse de rendre fier le mauritanien de son pays ne sera plus remise aux calendes grecques. Autre révolution : le peuple mauritanien est pour la première fois au centre des préoccupations de nos gouvernants. Tout est tenu à lui être plus proche dans la justice et la transparence totale. L’impunité, le népotisme et autres formes de clientélisme sont à oublier. On les oubliera sachant là où la lutte a commencé à se tailler et conscient des victimes collatérales que les premiers coups ont déjà engendrées comme conséquences.
Last but not least. Au début de cette semaine, le ministère de la santé a lancé un appel à toutes les compétences en santé qui exercent à l’étranger de rejoindre le bled. Il y a du travail pour tout le monde. Je me suis d’ailleurs posé la question : qu’attendent les autres départements ministèriels aussi ?
L’on peut dire sans un grand orgueil que notre pays est en train de devenir, depuis 2005, un laboratoire pour les brebis galeuses qui cherchent à s’en sortir.
Mais en dehors de tout ce tohu-bohu, certes souhaitable, que peut-on réellement lire derrière, par fidélité à la théorie de développement ?
Nous ne cesserons de le reconnaître, les actions que nos autorités sont en train d’entreprendre sont à féliciter et encourager. Mais pour arriver à là où le peuple l’attend vraiment, c’est-à-dire, le développement socio-économique, nos autorités ne sauraient continuer à vouloir, coûte que coûte, voir le visage souriant de notre peuple à court terme.
Même si la stratégie semble déboucher sur les objectifs fixés au départ, force de reconnaître que cela ne sera toujours pas le cas. Le vrai développement ne saurait être temporaire. Il doit être durable et s’adapter au temps. Pour cela, faudra-t-il, que des actions qui feront gagner, à notre pays, des devises, des emplois ou autres retombées socio-économiques soient aussi entreprises ?
En tout cas, c’est le bon souhait pour un développement socio-économique durable dans lequel le peuple lui-même se prendra en charge.
Haïti sous les décombres, la Mauritanie est-elle épargnée pour toujours ?
11 janvier 2010
Oui, mes enfants, nous sommes faits pour être des éternels supporteurs d'autres équipes
Mais voilà que mon homonyme m’affuble des questions avant la fin de la partie : A quand notre match ? Contre qui nous allons jouer ?
10 janvier 2010
Un des boucliers des caciques de notre administration : « les formations technocrates sont faites pour le privé ».
En tout cas c’est la moindre des questions que l’on puisse se poser. Nos ministères, ces derniers temps, sont devenus des greniers à boucliers. Les temps changent. Eux aussi. Les nouvelles compétences, avec les vents du changement qui sont en train de s’abattre sur notre pays n’ont qu’une seule motivation : finir le plutôt possible les études et prendre part au partage du gâteau mal fait et mal partagé jusque là.
Seulement, sur le terrain la tâche ne semblerait pas être des plus faciles. Les anciens s’accrochent davantage. Les arguments dont ils se servent pour faire décourager les nouveaux postulants sont une preuve difficile à réfuter. Est-ce le début de la levée des boucliers ? En tout cas, la façon avec laquelle l’on commence à conseiller les nouveaux arrivants, l’on ne peut conclure que par une telle thèse. Si les portes ne sont pas simplement verrouillées derrière, on fait appel à des arguments de dissuasion dignes d’une communication politique high-tech, fidèle œuvre des spins où tout a été bien préparé, noté et ingurgité pour être opposé chaque fois que l’ennemi se montre. Mais jusqu’à quand exactement ?
C’est là la question qu’il faut vraiment se poser. Surtout quand on sait l’objectif que s’est fixé notre actuel président : assainir notre administration, la doter des compétences qu’il faut pour parvenir à là où on s’est fixé comme destination.
Plus qu’un désir, cela est en train de devenir une réalité. Puisque dans sa déclaration de politique générale du gouvernement pour l’année 2010, notre premier ministre n’a pas manqué de rappeler les engagements de notre « hyperactif » et pragmatique président au cours de son investiture du 05 Août dernier selon lesquels « notre pays, exposé au mécontentement de tous, n’arrive pas à s’imposer devant les antagonismes locaux et continue à souffrir de l’incompétence de ses institutions, des sureffectifs dans l’appareil administratif, des charges exorbitantes et de l’inefficience généralisée. Le citoyen se perd dans les dédales de procédures inadaptées, contradictoires et pléthoriques. A toutes ces tares, s’ajoutent le manque de transparence, la corruption de l’élite, l’incompétence et le manque d’expérience professionnelle des ressources humaines ».
Un homme averti en vaut deux. Puisque nos intouchables hommes d’affaires n’avaient pas échappé à cette volonté de concrétisation des promesses, ce ne sera pas un faux fonctionnaire qui le sera. Même tard, ce jour-là arrivera. Beaucoup de bruit pour rien.
L’administration n’est pas un garage pour ceux qui n’ont pas pu être utiles ailleurs. C’est le lieu où le sort du citoyen se scelle d’une manière ou d’une autre. De ce fait, deux paramètres sont tracés : Uno, plus de gâchis des deniers publics de n’importe quelle manière que ce soit. Secundo, l’œil attentionné veillera désormais sur le résultat.
Nos détracteurs ont alors un choix : se mettre à l’heure. Mais comment, puisque le goût de la simplicité est une affaire de culture. Et une affaire de culture demande du temps. Aziz en a pour leur distribuer ?
Donc aux fausses alertes, aux faux boucliers de se taire et se baisser. Notre pays n’a pas assez des moyens, à plus forte raison encore perdre plus de temps. Au-delà de la simple motivation de parler à son nom, permettez-moi de reconnaître que le temps fera tout. La Mauritanie qui s’annonce aujourd’hui est celle du travail, qui avec ses maigres moyens, veut sortir de son gros sommeil. Please, pères, la technocratie en est la solution. Moins exigeants en moyens (si on la compare au salaire d’un faux fonctionnaire corrompu qui fait appel au faux consultant pour un petit travail), elle se base sur le résultat….
A ceux qui brandissent alors les boucliers d’arguments, pas de réponse pour le moment. Ce sont les exigences du moment qui nous donnera raison….
06 janvier 2010
Voilà ce sur quoi j'ai beaucoup refléchi aujourd'hui et qui me fait peur....
En étant réaliste vis-à-vis de soi-même, sauf par faux semblant, l’on ne peut ne pas reconnaître que la Mauritanie que l’on aime n’est pas loin de ce qui peut la sombrer pour jamais. Entre noirs et blancs, même si le discours intégriste relève encore du seul cadre des salons feutrés et du net, impossible de ne pas reconnaître, que les couteaux sont en train d’être limés. On attend, seulement, l’occasion pour se régler les comptes. « L’on ne permettra jamais à l’histoire de se répéter » me prévient un rancunier.
Mais à une seule condition seulement: bâtir un Etat de droit.
Attention les démons ne sont pas si loin
Ainsi, depuis un certain temps je m’y rends presque quotidiennement. Souvent pour voir s’il y en a mieux ou encore si, aux quelques concours auxquels certaines de mes infortunées connaissances avaient pris part, le résultat valait vraiment l’intention et la motivation. Pour certains, oui. Tant mieux alors. Mais pour la plupart, encore à revisiter le site. Rien d’anormal dans tout cela. C’est d’ailleurs le but des concours.
La sélection des dossiers
Le déroulement du concours
La rétention
Ne sommes-nous pas encore loin de nos démons ? C’est en tout cas regrettable……